"MANOS" ce sont les mains qui frappent les tambours du carnaval, ce sont les nostalgies de Ricardo pour les sons de ses origines, les déchirures et les angoisses que lui a légué l’Histoire de son pays ("Los ojos olvidados").
Ces "mains" livrent aussi le soleil ("Sol en Casa") et les automnes ("un Mes de Avril") de ses émotions, accompagnent à la guitare, aux percussions, à la basse, au piano… le chant de ses rêveries taciturnes (« El silencio de la Luna »), son regard lucide et ses appels à l’espoir ("Humanidad", "Cuando Cambiara").